dimanche 14 juin 2009

Il fut un temps, un temps futile...

Il y eut un temps où je fus Nambule,
L’ami d’Hon, le somnambule.
Nous habitions vers Satile,
La terre hébantine de nos aïeux.

Un jour, j’y fus nommé Nhir, un titre très stygieux !
Hon resta de marbre devant Triloc, le roi,
Même s’il fut, à Cablé, mon mentor.
…De ne pas être promu Zarègne, au moins !?

Ensuite, Hon a perdu Lou, sa femme in.
Maintenant, il se cache à Rel, Car d’un, il a peur
Et de deux, il sent ferme et bois.
Que peut Hon pour sa peine ?

Ses rêves sont tombés à l’eau d’Anum
Et il n’est pas roi Cien ni prêtre.
Mais je ne suis pas l’ami d’Hon pour rien,
Je lui ai offert des patates « Arte »…

16 commentaires:

  1. Superbe style ou j'ai parfois peur de louper des subtilites, mais est-ce important?
    Heureuse de te relire ;)
    Bonne nuit. bisous

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  2. Chouette c'est plein de jeu de mots laids ! Le style a changé. Mais ouin, j'arrive trop tard, je voulais être la première à laisser un com. !

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  3. C'est bien joli chez toi... Tu as une chambre d'ami(e)s pour moi ? :D
    Bisous mon Chou (L)

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  4. Subtils jeux de mots !

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  5. Je me suis perdu dans la forêt de tes mots..mais je crois avoir compris que le bonheur s'est aussi perdu:)

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  6. Je crois qu'il mérite d'être lu plusieurs fois, parce qu'à la première lecture il y'avait des choses qui m'avaient échappée. Mais c'est bien ça fait fonctionner les neurones :)
    En tout cas bien mené et belle recherche.

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  7. Des pâtes à tarte, oups je l'avais loupé celui là !

    ;-)

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  8. Je vous remercie pour vos com's et j'espère que la lecture vous a plu... Je pose une autre lecture ici au cas où vous en auriez raté d'autres:

    Il y eut un temps où je funambule,
    L’amidon, le somnambule.
    Nous habitions versatile,
    La térébenthine de nos aïeux.

    Un jour, j’y fus nom... menhir, un titre prestigieux !
    On resta de marbre de ventriloque, le roi,
    Même s’il fut, accablé, mon mentor.
    …De ne pas être promu à règne (ou musaraigne), au moins !?

    Ensuite, Hon a perdu Lou (on a peur du loup), (et de sa famine).
    Maintenant, il se Cacharel, Cardin, il a peur
    Et de deux, il s'enferme et boit.
    Que peut-on pour sa peine ?

    Ses rêves sont tombés à laudanum
    Et il n’est paroissien ni prêtre.
    Mais je ne suis pas l’amidon pour rien,
    Je lui ai offert des pâtes à tarte »… (bravo Léna!)

    Je crois qu'il va falloir que j'invente des règles pour le jeu de mollets! Et oui, Lalwende... je crois qu'il faut des relectures, d'autant que je suis très lourd...des fois...

    Léo, je songe à refaire un truc comme la rue, mais là, j'ai réduis ma surface... J'y travaille, mais avant, il faut que je fasse un deuil...

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  9. Trop nulle Lalwende (ouais je me parle à moi-même) t'en avais bien ratée d'autres :P

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  10. Je suis presque fiere; j'en avais laisse passer que deux :)
    Gros bisous, Renaud

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  11. Joliment écrit, ça sonne, cogne et séduit.
    A bientôt.
    Frederick

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  12. je découvre, je découvre ...çà je sais pas en faire autant !!!
    je t'adresse mes premières félicitations...mais j'en avais trouvé plusieurs ...

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  13. Merci Frederick de ton passage.
    Nanou, je suis touché par tes interventions... ;)
    Bises

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  14. Superbe Renaud,tu m'assis d'airer autant d'etang,sans passer par ton blog,comment ai je pu louper ça,et moi qui attendais sur la terrasse en attendant que fée clochette tinte la nouvelle,bon et bien l'a du pain su'la planche l'gar...J'adore et je monte a laitage,vindiou la vache.!!!

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  15. Il y a toujours une pensée pour toi dans un coin de ma mémoire, dans un moment de la journée mais j'avais oublié à quel point j'adorais te lire :) jamy

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