dimanche 22 juillet 2012

Le Faery

Rebonjour à tous! Il y a bien longtemps que je ne suis pas repassé par ici mettre mon grain de sel. Faut dire que lorsque qu'on emménage à la campagne, on est vite envoûté par une vie d'ours troglodyte ! Quoi qu'il en soit, je vais me "refamiliariser" petit à petit avec la toile pour vous donner des nouvelles et vous offrir des créations suggestationnelles, stratosphériques et perpendiculaires à l'improbable... En attendant ces instants, je tiens à vous faire visiter une p'tite boutique d'une p'tite fée...(Beaucoup de p'tit mais tout ce qui est p'tit est beau!!). Elle a ouvert tout récemment et propose quelques trois cent objets, du genre de ceux que vous trouvez dans les bois enchantés). Et mon p'tit doigt m'a dit que bientôt, y'aurai des créations personnelles en vitrine. (c'est pas que mon doigt soit beau parce qu'il est p'tit pour le coup... mais l'expression veut ça...) Alors allez faire un tour par là:

lundi 28 septembre 2009

Introspection V1.0

Je suis heureux, je suis malheureux.

Je fais semblant… je ne sais pas, je ne veux pas le savoir.

Tu peux me taper dessus ou me caresser, tu n’obtiendras rien de moi, sinon ce que je veux.
Mais c’est avec justesse que je me considère comme ce sim’s que je pointe du doigt : Je veux le meilleur pour lui, bien entendu. Je l’oblige, l’ordonne et l’oriente à ma convenance. Il est à la fois mon reflet et mon jouet, celui qui me représente au sein de mes semblables. Et si je ne suis que lui et non moi, c’est que mon âme hiberne et erre depuis trop longtemps.
Mon ambiguïté et ma démence, je les dois à mes brûlures, qui à force de décennies n’ont plus d’effet sur lui… sur moi. L’amour et la haine : ces tourments impondérables sont devenus des choix raisonnés et dés lors, ma subjectivité est bâclée.
Ma vie n’a pas davantage de valeur que celle d’un autre. Cette certitude appréhendée n’est pas du pessimisme, c’est une réalité affligeante pour le nombriliste. Demain, je peux devenir célèbre ou unijambiste. C’est cette conscience du possible qui ruine la foi et l’envie. C’est cette connaissance des éventualités qui dissipe la passion.
Je peux te dire que je t’aime, poussé par un afflux d’affection pondéré. Je peux te dire que je t’aime car si je reste avec toi, c’est notre dépendance qui pourrait donner raison à ma parole. Je peux te haïr, et te pardonner le lendemain. Mais ce ne sera pas une spontanéité ni même l’écho de mon cœur…juste le fruit d’une logique humanoïde.
De mon âme, il ne reste que la distinction du bien et du mal : cette forme d’empathie que j’affectionne pour la vie en communauté. Mais n’espère pas obtenir de moi de profonds pleurs ou de francs sourires, sauf si tu es magicienne.

Je suis malheureux, je suis heureux.

Je n’en sais rien et cela m’est égal.

lundi 21 septembre 2009

Home Sweet Home

Enfin de retour sur la "blogmap", je l'espère de façon un peu plus consistante^^ J'espère que vous avez tous passé d'excellentes vacances et qu'elle vous sont profitables!
J'ai accumulé un retard assez conséquent, et du coup, je reprend depuis début Juillet! Désolé ^^
Juste avant de partir en vacances, j'ai retapé mon salon de A à Z, pour environ 250 euros entre peinture, tapisserie et quelques objets purement inutiles! J'avais bien d'autres idées plus stratosphériques et d'autres ambitions lunaires, mais pas trop envie d'investir dans un Home que je pourrai quitter demain.
Disons que c'est pour amortir la caution et chasser cafards, blattes, rats, vautours, crocodiles, dinosaures...
Je n'ai pas de photo de l'avant, mais disons que ça ressemblait à de l'indifférence dégradée. Maintenant, c'est louche, mais fun, soit!


lundi 17 août 2009

Démence N°1



Peintures acryliques - 40x30 - Scène imaginaire

lundi 6 juillet 2009

Le Mammifère petrolifère




Le mammifère pétrolifère rôde et toussote, mais il est fier.
Sa monture en tôle lui donne de l’amour,
Et son essence est sans ciel pour toujours.

Le mammifère pétrolifère mangera du foin cette année :
Sa belle a beaucoup trop de pouces,
Et n’a nul air… de se soucier du majeur.

Sa guimbarde vrombissante et rutilante,
Il la douche du bout des doigts,
Mais la touche à bout de soie…
Et lorsque qu’elle ronronne,
Tout le reste lui est aphone.

Le mâle aime à chevaucher sur place et sans capote,
Ainsi qu’à craquer les bretelles à soixante-neuf miles.
Mais pour pouvoir sortir son engin, il doit payer son pot.

Il a aussi l’assurance de pouvoir prendre tous risques.
Et s’il est prêt à faire preuve de franchise,
Le prédateur pétrolifère peut polluer et tuer.

Nul doute que le mammifère pétrolifère est aimant de ses racines…



Désolé de mon manque de présence et là, pas beaucoup d'inspiration. Je vais rattraper dés que possible mon retard de lecture sur vos blog, ainsi que la qualité de mes posts...